L'autre soir, France 5 (ou 4, enfin France Télévisions quoi) a diffusé un documentaire de l'excellent Patrick Jeudy sur Robert Francis Kennedy, 40e anniversaire de son assassinat oblige.
Super documentaire, que j'avais déjà vu mais ça n'a rien d'étonnant car à mon avis sur les Kennedy j'ai déjà tout vu ou du moins tout ce qui a été diffusé sur un medium quelconque dans quelque pays que je sois depuis que je suis en âge d'allumer un poste de télévision.
Au-delà du très beau texte (certes limite hagiographique) dit par la belle voix grave de Serge Khalfon, au-delà des images de cet homme qui a toujours été dans l'ombre de quelqu'un jusqu'au jour où il est enfin entré dans la lumière - pour s'y faire descendre, au-delà de la musique parfois un brin mélo, au-delà de certaines scènes réellement émotionnantes (celle où il annonce à une foule qui l'ignore encore que Martin Luther King vient d'être assassiné, ou les 22 minutes de standing ovation au congrès démocrate lors de sa première apparition après la mort de John) à chaque fois, ça ne loupe pas : je pleure. C'est plus fort que moi...
Some men see things as they are and say why
I dream things that never were and say why not
George Bernard Shaw
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