Ah si seulement Ségolène Royal avait autant de créativité pour trouver des solutions viables aux problèmes vécus des français qu'elle en a pour se mettre en scène autour de son nombril, habillée en Schtroumpfette et gesticulant (sans une once de naturel) comme le gourou de la secte Moon...
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lundi 29 septembre 2008
lundi 22 septembre 2008
Critique du film "Mamma Mia!"
Genre: Waterloo (note: * / ****)
Réal. Phyllida Lloyd
Avec Meryl Streep, Pierce Brosnan, Amanda Seyfried, Colin Firth, Christine Baransky, Peter Sarksgaard, Julie Walters, etc.
J'avais a-do-ré le musical lorsqu'il était passé à Paris en 2005. J'attendais donc le film avec une grande impatience.
Avec un casting pareil, des chansons mythiques et une histoire (la même que pour le musical) plutôt sympa on était quasiment assuré de passer un bon moment. Oui mais... Mamma mia...
D'abord Meryl Streep est clairement une erreur de casting. Elle l'était aussi a priori pour "Le Diable s'habille en Prada" mais avait réussi à s'en tirer par quelques pirouettes techniques et grâce à une réalisation maîtrisée. Ici ce n'est pas le cas. Elle a 60 ans, elle les fait, on a beaucoup de mal à croire qu'elle puisse être la mère de la pétulante Amanda Seyfried. En plus elle est tout simplement mauvaise. Amanda, elle, c'est la bonne surprise du film : légère comme une brise marine hellénique, pétillante comme une bulle de champagne, sa bonne humeur et son enthousiasme sont communicatifs (et en plus elle a un joli brin de talent).
Dans l'ensemble les autres voix ne sont pas à la hauteur, même si on peut saluer l'effort des acteurs d'avoir interprété les chansons eux-mêmes. Mais pour une comédie musicale, les voix c'est l'essentiel, la base même du film. Les chorégraphies sont approximatives et surtout extrêmement mal filmées et même mal montées. Tout ça donne une impression générale d'amateurisme, genre film de vacances réalisé par papa devant des décors en carton pâte.
Les quelques rares scènes de pur bonheur, on les doit à Amanda Seyfried comme je l'ai dit plus haut mais aussi et surtout à Christine Baransky, championne de l'auto-dérision, un corps athlétique superbe dont elle se sert comme d'un véritable outil de comédie : elle est hilarante. Et c'est à elle que l'on doit la seule vraie bonne réplique du film : Julie Walters trouve dans sa valise un string plus que minimaliste et lui demande "Do you wear it or do you floss with it?" Réponse: "Floss you!"
Les chansons d'ABBA et le physique avantageux de Pierce Brosnan (malgré les quelques kilos pris pour le rôle) permettent au film de se laisser voir sans déplaisir certes mais avec une tenace impression de gâchis. Grosse déception donc. Tant pis.
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Réal. Phyllida Lloyd
Avec Meryl Streep, Pierce Brosnan, Amanda Seyfried, Colin Firth, Christine Baransky, Peter Sarksgaard, Julie Walters, etc.
J'avais a-do-ré le musical lorsqu'il était passé à Paris en 2005. J'attendais donc le film avec une grande impatience.
Avec un casting pareil, des chansons mythiques et une histoire (la même que pour le musical) plutôt sympa on était quasiment assuré de passer un bon moment. Oui mais... Mamma mia...
D'abord Meryl Streep est clairement une erreur de casting. Elle l'était aussi a priori pour "Le Diable s'habille en Prada" mais avait réussi à s'en tirer par quelques pirouettes techniques et grâce à une réalisation maîtrisée. Ici ce n'est pas le cas. Elle a 60 ans, elle les fait, on a beaucoup de mal à croire qu'elle puisse être la mère de la pétulante Amanda Seyfried. En plus elle est tout simplement mauvaise. Amanda, elle, c'est la bonne surprise du film : légère comme une brise marine hellénique, pétillante comme une bulle de champagne, sa bonne humeur et son enthousiasme sont communicatifs (et en plus elle a un joli brin de talent).
Dans l'ensemble les autres voix ne sont pas à la hauteur, même si on peut saluer l'effort des acteurs d'avoir interprété les chansons eux-mêmes. Mais pour une comédie musicale, les voix c'est l'essentiel, la base même du film. Les chorégraphies sont approximatives et surtout extrêmement mal filmées et même mal montées. Tout ça donne une impression générale d'amateurisme, genre film de vacances réalisé par papa devant des décors en carton pâte.
Les quelques rares scènes de pur bonheur, on les doit à Amanda Seyfried comme je l'ai dit plus haut mais aussi et surtout à Christine Baransky, championne de l'auto-dérision, un corps athlétique superbe dont elle se sert comme d'un véritable outil de comédie : elle est hilarante. Et c'est à elle que l'on doit la seule vraie bonne réplique du film : Julie Walters trouve dans sa valise un string plus que minimaliste et lui demande "Do you wear it or do you floss with it?" Réponse: "Floss you!"
Les chansons d'ABBA et le physique avantageux de Pierce Brosnan (malgré les quelques kilos pris pour le rôle) permettent au film de se laisser voir sans déplaisir certes mais avec une tenace impression de gâchis. Grosse déception donc. Tant pis.
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Critique de la pièce "EQUUS"
Genre: boucherie chevaline (note: *** / ****)
Pièce de Peter Shaffer (adaptation française de Pol Quentin)
Mise en scène de Didier Long - Théâtre Marigny
Avec Bruno Wolkowitch, Christiane Cohendy, Didier Flamand, Delphine Rich, Julien Alluguette, etc.
Alan a 17 ans, il est fasciné par les chevaux et pourtant il vient de crever les yeux de six d'entre eux. Folie passagère ? Acte prémédité ? Un psychiatre, le Docteur Dysart, va tenter d'élucider ce mystère.
L'exercice ne s'annonçait pas aisé. A cause du sujet déjà, particulièrement dramatique, mais aussi à cause de l'écriture de certaines scènes dont une qui conduit le jeune Alan à se dévêtir complètement sur scène. On attendait aussi Bruno Wolkowitch au tournant, acteur de série télé qui avait déjà fait une tentative théâtrale assez peu convaincante dans "Mademoiselle Julie".
Ici, Wolkowitch s'impose d'entrée par sa voix, son regard, sa présence. Face à lui un jeune acteur au jeu intense et entier, une véritable révélation. Christiane Cohendy est égale à elle-même, parfaite. Celle qui fut la suivante de Phèdre dans la pièce éponyme mise en scène par Patrice Chéreau il y a quelques années à l'Odéon du temps où il "squattait" les Ateliers Berthier est une fois de plus très juste. On regrettera simplement qu'elle fasse un poil trop mature pour le rôle. Mais on peut adresser le même reproche au choix de Didier Flamand dans le rôle du père. Certes il est parfait mais un peu vieux pour être le père d'un gamin de 17 ans... Delphine Rich se sort également très bien de sa partition. Seul bémol, Astrid Berges-Frisbey qui bute sur les mots, nous sort une série de borborygmes et s'arrête net avant de reprendre sa tirade précédente au lieu de faire comme les autres : enchaîner comme si de rien n'était. On mettra cela sur le compte de sa jeunesse et de son inexpérience, les deux étant de plus (malheureusement pour elle) amplifiés par la maîtrise de son partenaire, Julien Alluguette.
Une histoire tragique, dont la génèse se trouve toujours dans l'enfance, cet âge batisseur où tout n'est qu'apprentissage, traumatisme, candeur. Un casting globalement impeccable, une mise en scène remarquable qui ne fait pas d'ombre au texte mais au contraire le met en valeur font de cet "Equus" un superbe moment de théâtre. A guetter aux prochains Molières...
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Pièce de Peter Shaffer (adaptation française de Pol Quentin)
Mise en scène de Didier Long - Théâtre Marigny
Avec Bruno Wolkowitch, Christiane Cohendy, Didier Flamand, Delphine Rich, Julien Alluguette, etc.
Alan a 17 ans, il est fasciné par les chevaux et pourtant il vient de crever les yeux de six d'entre eux. Folie passagère ? Acte prémédité ? Un psychiatre, le Docteur Dysart, va tenter d'élucider ce mystère.
L'exercice ne s'annonçait pas aisé. A cause du sujet déjà, particulièrement dramatique, mais aussi à cause de l'écriture de certaines scènes dont une qui conduit le jeune Alan à se dévêtir complètement sur scène. On attendait aussi Bruno Wolkowitch au tournant, acteur de série télé qui avait déjà fait une tentative théâtrale assez peu convaincante dans "Mademoiselle Julie".
Ici, Wolkowitch s'impose d'entrée par sa voix, son regard, sa présence. Face à lui un jeune acteur au jeu intense et entier, une véritable révélation. Christiane Cohendy est égale à elle-même, parfaite. Celle qui fut la suivante de Phèdre dans la pièce éponyme mise en scène par Patrice Chéreau il y a quelques années à l'Odéon du temps où il "squattait" les Ateliers Berthier est une fois de plus très juste. On regrettera simplement qu'elle fasse un poil trop mature pour le rôle. Mais on peut adresser le même reproche au choix de Didier Flamand dans le rôle du père. Certes il est parfait mais un peu vieux pour être le père d'un gamin de 17 ans... Delphine Rich se sort également très bien de sa partition. Seul bémol, Astrid Berges-Frisbey qui bute sur les mots, nous sort une série de borborygmes et s'arrête net avant de reprendre sa tirade précédente au lieu de faire comme les autres : enchaîner comme si de rien n'était. On mettra cela sur le compte de sa jeunesse et de son inexpérience, les deux étant de plus (malheureusement pour elle) amplifiés par la maîtrise de son partenaire, Julien Alluguette.
Une histoire tragique, dont la génèse se trouve toujours dans l'enfance, cet âge batisseur où tout n'est qu'apprentissage, traumatisme, candeur. Un casting globalement impeccable, une mise en scène remarquable qui ne fait pas d'ombre au texte mais au contraire le met en valeur font de cet "Equus" un superbe moment de théâtre. A guetter aux prochains Molières...
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lundi 15 septembre 2008
Thy will be done (but just in case)
Benoît XVI fait une tournée en France où on le reçoit en grand tralala, comme il se doit. Benoît XVI est le représentant de Dieu sur cette terre. Il est là pour nous dire qu'il faut s'aimer les uns les autres et croire en Dieu, ce Dieu aux pieds duquel s'agenouillent de moins en moins de fidèles si l'on en croit les statistiques. Croyons en Dieu pour nous aider à rendre ce monde meilleur. Croyons en Dieu car lui seul est omnipotent, lui seul décide de la vie et de la mort. Lui seul. Voilà ce que nous dit le pape, premier fidèle d'entre les fidèles, celui qui montre la voie, qui montre qu'il croit.
OK. Mais dans ce cas j'ai une question : si le pape croit si fort en Dieu et en son absolu pouvoir de vie et de mort sur nous, simples mortels, s'il remet sans condition sa vie et la nôtre entre les mains de ce Dieu tout puissant, quelqu'un peut m'expliquer pourquoi il roule dans un carrosse de verre aux vitres blindées ?
Soit il croit et il remet son destin entre les mains de Dieu, et que Sa volonté soit faite. Soit pas. Mais cette papamobile n'est-elle pas à elle seule la négation assourdissante de tous ces beaux discours ?
Si je n'avais pas un minimum de respect pour cette foi catholique qui était si chère à ma grand-mère maternelle, je serais presque tentée de dire que c'est du foutage de gueule. Presque.
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OK. Mais dans ce cas j'ai une question : si le pape croit si fort en Dieu et en son absolu pouvoir de vie et de mort sur nous, simples mortels, s'il remet sans condition sa vie et la nôtre entre les mains de ce Dieu tout puissant, quelqu'un peut m'expliquer pourquoi il roule dans un carrosse de verre aux vitres blindées ?
Soit il croit et il remet son destin entre les mains de Dieu, et que Sa volonté soit faite. Soit pas. Mais cette papamobile n'est-elle pas à elle seule la négation assourdissante de tous ces beaux discours ?
Si je n'avais pas un minimum de respect pour cette foi catholique qui était si chère à ma grand-mère maternelle, je serais presque tentée de dire que c'est du foutage de gueule. Presque.
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mercredi 10 septembre 2008
Is it sheer luck or is it me?
"Tu as toujours eu beaucoup de chance, surtout niveau boulot". Cette phrase-là je l'ai entendue 100 fois. Par mon mec, par mes amis et même par mon père cet été, pendant les vacances. Et à chaque fois, elle a provoqué chez moi la même réaction : l'agacement.
Non, ma (somme toute modeste) carrière professionnelle n'est pas le fruit de la chance. Elle est le résultat de choix judicieux, d'un instinct fidèle, d'une personnalité particulière mais surtout, surtout de beaucoup de travail et d'un minimum d'intelligence. C'est ce que je martelais à chaque fois, avec une arrogance assez incroyable. Le pire dans tout ça c'est que je croyais dur comme fer à toutes ces explications qui ramenaient au final mon parcours professionnel, il est vrai plutôt sympathique, à une seule racine : moi. Me, myself and I. Et la chance dans tout ça ? Je voulais bien reconnaître qu'il en fallait un peu mais pas plus que ça.
Sauf que voilà, certains événements récents m'ont prouvé le contraire. Quand la roue tourne, que soudainement tout ce qu'on prenait pour acquis nous échappe sans que l'on n'ait rien changé à notre comportement, qu'on a beau ramer avec la même force, la même fougue mais que le vent se lève et malmène notre petite embarcation, que l'ordinateur, ce grand manitou de nos vies modernes, bugge, coince, plante, que le téléphone ne sonne pas, que les portes du métro se referment sous notre nez, que les papillons qu'ont croyait tenir au creux de notre estomac volent vers d'autres ventres, d'autres fleuves, d'autres rives, que la poste égare un pli important, il faut bien se rendre à l'évidence : luck IS everything.
Dustin Hoffman a rappelé l'autre soir dans "l'Actors Studio" ce que Robert de Niro avait déclaré un jour : "celui qui dit que la chance n'a rien à voir dans sa réussite est un menteur". Je commence à me demander si ce n'est pas lui qui a raison...
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Non, ma (somme toute modeste) carrière professionnelle n'est pas le fruit de la chance. Elle est le résultat de choix judicieux, d'un instinct fidèle, d'une personnalité particulière mais surtout, surtout de beaucoup de travail et d'un minimum d'intelligence. C'est ce que je martelais à chaque fois, avec une arrogance assez incroyable. Le pire dans tout ça c'est que je croyais dur comme fer à toutes ces explications qui ramenaient au final mon parcours professionnel, il est vrai plutôt sympathique, à une seule racine : moi. Me, myself and I. Et la chance dans tout ça ? Je voulais bien reconnaître qu'il en fallait un peu mais pas plus que ça.
Sauf que voilà, certains événements récents m'ont prouvé le contraire. Quand la roue tourne, que soudainement tout ce qu'on prenait pour acquis nous échappe sans que l'on n'ait rien changé à notre comportement, qu'on a beau ramer avec la même force, la même fougue mais que le vent se lève et malmène notre petite embarcation, que l'ordinateur, ce grand manitou de nos vies modernes, bugge, coince, plante, que le téléphone ne sonne pas, que les portes du métro se referment sous notre nez, que les papillons qu'ont croyait tenir au creux de notre estomac volent vers d'autres ventres, d'autres fleuves, d'autres rives, que la poste égare un pli important, il faut bien se rendre à l'évidence : luck IS everything.
Dustin Hoffman a rappelé l'autre soir dans "l'Actors Studio" ce que Robert de Niro avait déclaré un jour : "celui qui dit que la chance n'a rien à voir dans sa réussite est un menteur". Je commence à me demander si ce n'est pas lui qui a raison...
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jeudi 4 septembre 2008
Frankly my dear, I don't give a damn
Rachida Dati est enceinte. Oui, oui, Rachida Dati est ENCEINTE ! A 42 ans !
Oui, bon, c'est bien. Tant mieux pour elle. A part ça ? Ben justement à en croire la presse, aussi bien légumineuse (oui, vous savez, ces torchons dont on se sert pour ramasser les épluchures, que personne n'achète évidemment sauf les coiffeurs et les dentistes pour leur salle d'attente) que très sérieuse, il ne se passe rien d'autre en ce moment. C'est LA grande nouvelle du jour, voire de la semaine. La France, que dis-je le Monde tourne autour du nombril de Rachida Dati depuis huit jours.
Et chacun y va de son interrogation : qui est le père ? Pourquoi parle-t-elle de "consolidation" ? Pourquoi utilise-t-elle le pronom "ce" pour parler de son futur bébé ? Qu'est-ce qui va pas chez elle pour qu'elle parle de fausse couche sans dire le mot ? Comment ose-t-elle dire qu'elle s'en remettrait, si ça arrivait, d'un coup de rouge à lèvres ? Et patati et patata...
Je n'en croyais pas mes yeux ce matin en balayant la presse sur Internet ! Parce que franchement qu'est-ce qu'on en a à péter (pardon my French...) du mouflet de la Dati ? Elle a 42 ans, elle a officiellement pas de mec et "elle fait un bébé toute seule" ? Oui, bon, et alors ? ET ALORS ?
Foutons-lui la paix à Rachida ! Franchement il y a d'autres choses plus importantes, plus sérieuses et qui méritent bien davantage notre attention et d'éventuelles levées de boucliers que la soudaine poussée abdominale de notre garde des sceaux.
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Oui, bon, c'est bien. Tant mieux pour elle. A part ça ? Ben justement à en croire la presse, aussi bien légumineuse (oui, vous savez, ces torchons dont on se sert pour ramasser les épluchures, que personne n'achète évidemment sauf les coiffeurs et les dentistes pour leur salle d'attente) que très sérieuse, il ne se passe rien d'autre en ce moment. C'est LA grande nouvelle du jour, voire de la semaine. La France, que dis-je le Monde tourne autour du nombril de Rachida Dati depuis huit jours.
Et chacun y va de son interrogation : qui est le père ? Pourquoi parle-t-elle de "consolidation" ? Pourquoi utilise-t-elle le pronom "ce" pour parler de son futur bébé ? Qu'est-ce qui va pas chez elle pour qu'elle parle de fausse couche sans dire le mot ? Comment ose-t-elle dire qu'elle s'en remettrait, si ça arrivait, d'un coup de rouge à lèvres ? Et patati et patata...
Je n'en croyais pas mes yeux ce matin en balayant la presse sur Internet ! Parce que franchement qu'est-ce qu'on en a à péter (pardon my French...) du mouflet de la Dati ? Elle a 42 ans, elle a officiellement pas de mec et "elle fait un bébé toute seule" ? Oui, bon, et alors ? ET ALORS ?
Foutons-lui la paix à Rachida ! Franchement il y a d'autres choses plus importantes, plus sérieuses et qui méritent bien davantage notre attention et d'éventuelles levées de boucliers que la soudaine poussée abdominale de notre garde des sceaux.
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