Genre : bim bam boom - repeat (Note: * / ****)
Je me suis beaucoup, mais alors beaucoup ennuyée... La seule * est pour mon chouchou Benedict Cumberbatch. Sans lui, j'aurais sans doute quitté la séance.
F./
Critiques en tout genre (et quelques pensées pour faire genre...)
Genre : bim bam boom - repeat (Note: * / ****)
Je me suis beaucoup, mais alors beaucoup ennuyée... La seule * est pour mon chouchou Benedict Cumberbatch. Sans lui, j'aurais sans doute quitté la séance.
F./
Genre: the unusual suspect (note: ***/****)
Après avoir regardé et beaucoup aimé la mini-série "El Inocente", du même réalisateur (Oriol Paulo) et avec deux des acteurs (Mario Casas et Ana Wagener), nous voilà devant "Contratiempo" réalisé cinq ans plus tôt. On lui trouve immédiatement les mêmes qualités : réalisation sobre et superbe, ambiance envoûtante, des acteurs au top et une histoire bien écrite et bien menée qui nous emporte dès les premières minutes d'un montage au cordeau. On veut savoir ce qui s'est passé, on veut comprendre le fin mot de l'histoire. Le héros n'est pas au bout de ses surprises et... nous non plus.
Je ne peux en dire plus sans déflorer le dénouement du film. Je ne peux que chaudement le recommander !
F/.
Genre : le droit d'importuner ? (note: **/****)
Genre : c'est le Nord (note : ***/****)
Elle s’appelait Kim Wall. C’était une journaliste suédoise indépendante. Elle est morte à 30 ans, assassinée par un Géotrouvetou danois qu’elle était venue interviewer, à bord d’un sous-marin artisanal qu’il avait construit.
Cette superbe série danoise suit l’enquête minutieuse incroyable de la police danoise. Un flic taciturne qui ne lache rien, son équipe jeune, dédiée, déterminée et des plongeurs de la marine nationale extraordinaires finiront par faire tomber l’assassin. Son nom ? Pas une fois il n’est prononcé dans les six épisodes. Volontairement. Parce que le héros de cette histoire (vraie), ce n’est pas lui. Les héros ce sont Kim Wall, ses parents et l’équipe de police.
F/.
Genre : la vengeance est un plat qui se mange froid (note : ****/****)
Quelle nostalgie de quitter Edmond Dantès !
Quel bonheur d’avoir passé ces deux dernières semaines dans les plis de son âme, dans les recoins de son esprit, dans la finesse de son implacable vengeance. Que d’émotions suscitées par l’écriture sublime de Dumas au fil de ces 1400 pages qui m’ont paru trop courtes et que j’aurais tellement aimé prolonger encore et encore !
Moi qui ai attendu 50 ans pour le rencontrer il me faut déjà le quitter après 15 jours à peine... Alors, par chance, si le silence qui suit du Mozart est encore du Mozart les jours prochains seront pour moi très certainement encore du Dumas. Et c’est très bien comme ça.
"Je suis descendu d'une planète qu'on appelle la douleur"
F/.