dimanche 1 juin 2008

Critique du film "Sex and the City - the movie"

Genre: S&TC saison 7 (note: ** / ****)

Réal. Michael Patrick King
Avec Sarah Jessica Parker, Kim Cattrall, Kristin Davis, Cynthia Nixon, David Eigelberg, Evan Handler, Jennifer Hudson et Chris Noth
Costumes (très important...): Patricia Field

Ah ! Celui-ci j'avais fini par l'attendre avec (presque) autant d'impatience que la nouvelle collection Jimmy Choo...

En bref, on prend les mêmes et on continue. Honnêtement j'y allais avec un a priori très dubitatif, voire même carrément négatif. Pour moi tout avait été dit dans les excellentes 6 saisons de la série et exporter la suite sur grand écran n'avait aucun intérêt (autre que financier).

Mais bon, le temps passant, l'exposition médiatique et la grosse pression des copines aidant me voilà dans la salle. Zurichoise même, pour l'occasion et surtout pour être accompagnée d'Anaf, une de mes meilleures amies grande fan de la série comme moi et qui habite désormais à Ricoland.

Et on s'est régalées. Une fois digéré le défilé de mode SJP / Carrie Bradshaw en robe de mariée d'abord et qui fait le tri dans son dressing ensuite, qui m'est un peu resté sur l'estomac je dois dire et auquel je n'ai trouvé aucun intérêt (autre que financier sans doute vu que les marques ont dû bien aligner les billets verts pour figurer dans ZE fashion movie of the year).

L'histoire se tient, déjà IL Y A une histoire. OK tout ça a été pas mal asceptisé et les scènes ou dialogues un peu trop "libérés" n'ont visiblement pas obtenus leur visa pour passer du petit au grand écran. Reste la complicité (à l'écran) de ces fabulous four-là, plus la pétillance d'une nouvelle venue : Jennifer Hudson dans le rôle d'une P.A. très fashion et surtout avec un coeur gros comme ça.

On sourit, on rit, on se rappelle de tous les bons moments qu'on a déjà passés avec ces filles-là pendant des années. On a l'oeil aiguisé aussi (impitoyable ?) et on trouve qu'elles ont quand même pris un sacré coup de vieux.

Et en sortant de la projo, on se rue sur le téléphone pour partager tout ça avec les copines qui l'ont vu ailleurs et dans la foulée s'organiser un week-end filles in London à l'automne.

Au final, même si je ne voulais pas y aller au début, j'étais bien contente d'être, une fois de plus, "Carried away".

PS pour les directeurs de cinéma helvètes : Euh... c'est quoi exactement cet entracte à la manque ?? En plein milieu d'une scène en plus ! Inadmissible.

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